Interview : Nicola Sirkis et Boris Jardel

En exclusivité pour mon blog, voici l’intégralité de l’interview de Nicola Sirkis et de Boris Jardel à l’occasion de la sortie de La République des Météors, onzième album studio d’Indochine. Cinq questions de cet entretien sont parues dans le quotidien l’actu (voir bas de l’article).



Comment est né cet album, au niveau des compositions tout d’abord ?

Nicola Sirkis : On a commencé par organiser des sessions d’enregistrements de septembre 2007 à mai 2008, entre Paris et la Normandie, où un studio nous attendait. Le même dans lequel on avait enregistré Alice & June, c’est un super endroit, il y a tous les instruments qu’on veut !

Boris Jardel : On a donc sonné le rappel pour qu’on reprenne tous tranquillement le chemin des studios.

Nicola : Et donc chaque membre amenait des compos, des idées d’accords, de sons, on mixait tout ça.

Boris : Par exemple je me ramenais quelques accords de guitare, Oli aussi… Le travail d’un membre va en inspirer un autre et ainsi de suite, on fait toujours comme ça.

Nicola : Et donc les morceaux sont nés comme ça petit à petit. Enfin ça doit être aussi comme ça dans les autres groupes je pense.


Et au niveau des textes, où as-tu puisé ton inspiration Nicola ?

Nicola : Et bien, à la différence de Paradize et d’Alice & June, là je n’avais aucune idée de ce que j’allais écrire. Rien ! Pour Paradize je voulais parler de religion, j’avais déjà la pochette en tête, Alice & June j’avais ce concept de conte de fées déglingué, mais pour ce nouvel album, je n’avais vraiment aucune idée. C’était assez angoissant d’ailleurs. Je me suis demandé comment trouver des idées, puis j’ai voyagé en Europe, en Allemagne, en Finlande et j’ai visité l’exposition de Sophie Calle à Venise, c’est une artiste que j’aime beaucoup. Elle dévoilait un e-mail de rupture reçu de son amant et invitait 107 femmes à le commenter. Elle exposait cette énorme part d’intimité, ce côté impudique… Puis, j’ai été amené par hasard à lire des lettres de soldats qui partaient à la Première Guerre mondiale. Ça m’a bouleversé de lire ces écrits d’anonymes. Partir si jeune, abandonner sa famille, c’est horrible. C’est pour ça que les thématiques de La République des Météors sont l’absence et la rupture. On n’est pas maître de son destin, écrasé comme des météores…


Cette histoire de lettre se ressent énormément dans La Lettre de Métal

Nicola : Oui, car en plus de lire ces lettres dans des bouquins, une connaissance m’a passé celle de son grand-père. C’était vraiment poignant… C’est celle qu’on peut voir dans le livret.

Pourquoi avoir choisi Suzanne Combo (Sue, bassiste et chanteuse de Pravda) pour deux duos de cet album ?

Nicola Sirkis : Quand elle a fait nos premières parties nous sommes rapidement devenus proches. Et lorsque j’ai commencé à écrire la chanson Un ange à ma table, je l’ai invité et on a travaillé dessus. Ça s’est fait naturellement et à ma grande surprise ça sa voix rendait la chanson beaucoup plus intense, donc voilà.


En parlant de duo, à quand un duo avec Boris ?

Boris : Oula ! (rires)

Nicola : Ah mais quand il veut ! D’ailleurs je voulais qu’il chante sur L World.

Boris : Je fais déjà quelques chœurs et j’avais repris Wonderwall d’Oasis au moment des concerts acoustiques. Le problème c’est que je ne sais pas si je pourrai faire plus, si j’ai le niveau, je suis juste un grand débutant. Mais ce n’est pas un souci, je veux dire, au sein d’Indochine, ce n’est pas quelque chose qu’on me refuserait, mais chanter en live, au milieu de la scène comme Nico, et ben je ne sais pas si j’aurai les couilles de le faire !

Nicola : Oli aussi a fait quelques tentatives avec nous… (rires)

Boris : Oui mais pas longtemps ! (rires)


Justement Boris, où en est ton projet musical, Supervision 3 (un groupe collectif mené par Boris) ?

Nicola : Je vous laisse tous les deux pendant que tu réponds, je vais faire pipi.

Boris : Alors là on est en train d’enregistrer des démos. Je suis content car ça se met bien en place. Je suis toujours occupé d’un point de vue musical, soit avec ce collectif, soit avec Indochine. Je ne sais pas encore si un album sortira mais en tout cas ça avance bien ! Ce qui est marrant, c’est qu’au début de la création, il y a à peu près deux ans, j’avais tout : le nom du groupe, le style musical, mais pas les chansons ! Et petit à petit j’ai monté mes propres trucs. Je suis content que tu me poses cette question, merci !

Nicola revient, va chercher un petit pot de bonbons et m’en propose un.

Nicola, tu as écouté les démos de Boris ? Tu en penses quoi ?

Nicola : Ah moi j’adore ! Mais de toute façon je suis pour que chaque membre du groupe fasse ce genre de chose, ça permet d’enrichir son univers musical. Ça ne peut être que positif.


Revenons à l’album, qui parle d’absence et de guerre, de ces jeunes soldats partis au front très jeunes. Justement toi Nicola, qu’aurais tu fais si tu avais dû partir à la guerre comme ça ?

Nicola : Oula ! Je ne sais absolument pas. C’est difficile d’en parler, c’était un autre siècle, un monde injuste, on devait être désespéré. Peut-être que j’aurais déserté, je ne sais pas. À 17 ans, on a peur de rien donc je ne sais pas trop, ce qui est sûr c’est que j’aurais foutu le bordel. Mais bon, on n’a pas trop le choix, le pouvoir n’est pas entre nos mains. Quoiqu’il arrive, j’aurais refusé de mourir sans être révolté.


Toujours sur cet album, il y a plusieurs instruments insolites, qui les a choisi ?

Nicola : Oli a amené pas mal de choses, du ukulélé, bandonéon, des piano-jouets… On voulait tenter des expériences musicales. On a dépouillé un peu tout ça et l’album est très riche de ce point de vu, mais pas trop chargé non plus.


À propos de la pochette, comment s’est-elle créée ?

Nicola : J’ai demandé à Peggy (photographe et graphiste d’Indochine depuis Dancetaria) de la faire. Je voulais un patchwork de tout cela. Un truc à la Sergent Pepper’s des Beatles, ça fait longtemps que je voulais ça. Je crois juste qu’il manque quelques acteurs, il ne devait pas y avoir assez de place, ce n’est pas grave. En tout cas je suis très satisfait de cette pochette ! Peggy m’a montré quelques projets sans que je lui donne de grosses indications et elle a fait ce boulot superbe. J’étais vraiment content et surpris par ce très bon boulot !

La tournée démarre en octobre prochain. Comment va se dérouler ce Meteor Tour ? Il y aura des décors comme pour le Alice & June Tour ? Ou ce sera différent ?

Nicola : Il n’y aura pas de décors. Mais d’autres choses… Vous verrez, ce sera encore différent, pas radicalement différent mais quand même différent. On veut que lorsque le spectateur sorte de la salle, il soit bouleversé par son concert !


Et pour le Stade de France ?

Nicola : Pareil, ce sera différent. Il y aura des invités aussi. Pour l’instant je ne peux pas trop en dire plus. Mais ce ne sera pas pareil que pour le Meteor Tour, puisque les salles de concerts sont fermés, là c’est ouvert, on commencera quand il fera jour, donc ce sera très différent.


Pas trop stressé ?

Nicola : Stressé ce n’est pas le bon mot. À la fois angoissé, mais aussi impatient. Enfin, j’aurais quand même le trac avant de monter sur scène, ça c’est sûr !


Et toi Boris ?

Boris : Non ça va ! Pour la tournée, ça fait 11 ans que je fais les zéniths, je les connais. Le Stade de France ce sera énorme, c’est dans longtemps donc je ne me rends pas encore bien compte. Par contre ces derniers temps je fais toujours le même rêve à la con. J’arrive sur scène, complètement nu, mes cordes de guitare se cassent et… je me réveille ! Et là je me dis : ouais c’est bon t’as encore le temps !

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Sur foi de préventes, l’album est déjà disque d’or en Belgique, une dizaine de zéniths sont déjà complets, de nouvelles dates annoncées, 53 000 places du Stade de France sont vendues… Vous attendiez-vous à cette agitation ?

Nicola : Non non ! On ne s’attend jamais au succès. Cet album est le plus attendu, je ne sais pas vraiment pourquoi… L’impatience d’entendre des nouveaux morceaux est énorme. On a de la chance, il n’y a eu aucune fuite sur cet album en plus.

Boris : C’est peut-être parce qu’on mettait la webcam en ligne pendant les sessions de répète sur notre site. C’est frustrant d’avoir la vidéo et pas le son !


Des concerts sont complets alors que l’album n’a même pas encore été écouté !

Nicola : Oui, c’est assez incroyable. Notre public est vraiment extra-ordinaire. Ils aiment les live d’Indochine ! De toute façon, tout le monde s’accorde sur ce point-là, que Indochine en live, qu’on aime ou qu’on déteste, ça ne te laisse pas indifférent.

Boris : Oui c’est vrai.


Dans certains morceaux, il y a des références politiques… Principalement dans Playboy, quand tu dis : « Moi j’ai du mal avec les artistes, surtout les français qui habitent en Suisse« …

Nicola : Oui. Car j’ai été choqué, enfin, on a été choqué de beaucoup de choses. Notamment que le Président avait invité des artistes exilés fiscaux pour sa victoire en mai 2007… On subit, mais on n’est pas dupe, on vit dans cette espèce de génération sacrifiée où on vend notre émotion.


La chanson Bye Bye Valentine s’adresse à ta fille Théa, qui a 7 ans. Comment vis-tu ta relation avec elle ?

Nicola : Super bien ! Je suis aux anges, on écoute l’album ensemble, on le chante dans la voiture, elle est contente. Elle l’adore, et moi c’est la première fois que j’écoute un album d’Indochine ! Là je prends plaisir à écouter tout notre travail et elle me félicite, c’est très touchant.


Pourquoi ne pas la faire chanter sur un morceau ?

Nicola : Elle n’a pas voulu ! Au début elle devait, sur Je t’aime tant, et finalement elle a renoncé, tant pis !


Tu aimerais qu’elle devienne chanteuse ? Comme son papa ?

Nicola : Ça m’est égal. Elle fait ce qu’elle veut, tant qu’elle est heureuse. Si elle se lance dans la musique, je la suivrai de très près quand même ! Mais là elle veut devenir vétérinaire et star !

Boris : La mienne veut devenir libraire en ce moment.

Nicola : Ah mais c’est très bien ça !


Elle écoute quoi en plus d’Indochine ?

Nicola : Renan Luce et CSS, et je trouve ça très bien. Et le soir Le Soldat Rose, très sympa aussi.


Pour terminer, mais tu n’es pas obligé de répondre, tu as déclaré sur France 2 ne pas avoir lu le livre de ton grand frère Christophe Sirkis (Starmustang, livre peu flatteur envers Nicola, que Christophe accuse d’avoir laissé Stéphane mourir, et d’être un manipulateur). Est-ce que depuis tu l’as lu, ou le feras tu un jour ?

Nicola : Non. J’en ai pas l’intention. Ah si, je le lirai quand je serai mort !

À propos de cette double interview : Elle a eu lieu le vendredi 6 mars, à l’hôtel Park Hyatt, rue de la Paix, à Paris. Après avoir réécouté l’album et découvert en exclusivité le livret et donc l’art-book de Peggy M et les paroles, j’ai eu 30 minutes d’entretien en privé dans une pièce très classe avec Nicola et Boris. C’est la deuxième fois que j’interviewais Nicola, c’est encore un très bon souvenir, une personne sympathique et gentille, tout comme Boris, que je connaissais moins !

Cinq questions de cette interview posées à Nicola Sirkis ont été publiées dans l’actu du jeudi 12 mars. Avec d’ailleurs une énorme faute de ma part, j’ai marqué « Moi je n’aime pas les artistes », au lieu de « Moi j’ai du mal avec les artistes », toutes mes excuses aux abonnés et aux fans, je ne sais absolument pas pourquoi j’ai mis cela. Malgré mes relectures et corrections, je ne comprends pas ce qui s’est passé.

Pour terminer, les deux membres ont accepté de poser en photo avec moi ! Excellent souvenir, merci à Nicola et Boris, ainsi que Michel et Alain.

Crédits photos : Yves Bottalico / Peggy M / Sony Music / Thomas Suinot

20 thoughts on “Interview : Nicola Sirkis et Boris Jardel

  1. L’interview il moule ma Nancy Boy, ca change de beaucoup d’autres que tu trouves partout et ou l’on remarque tout de suite que le journaliste n’a pas fait l’effort de s’interesser au sujet !!! ( ca c’est du com. lol=
    Et je te le redis tu as trop de la chance d’avoir pu les rencontrer.

  2. Je ne poserais pas cette question: »Pour terminer, mais tu n’es pas obligé de répondre, tu as déclaré sur France 2 ne pas avoir lu le livre de ton grand frère Christophe Sirkis (Starmustang, livre peu flatteur envers Nicola, que Christophe accuse d’avoir laissé Stéphane mourir, et d’être un manipulateur). Est-ce que depuis tu l’as lu, ou le feras tu un jour ? » . Même si il était pas obligé de repondre, pourquoi il a fallu lui poser cette question, déjà une moi aussi, je ne lirais jamais ce livre, des mensonges et de la jalousie qui a dedans, si j’étais toi, je ne l’aurais jamais poser, ça se fait pas! quand même si tu avais un frere qui aurait écrit un livre sur toi pour accusation, et tu aurais voulu qu’on te la pose? bah non

    désolée de parler comme ça, je dis ce que je pense toute le temps j’ai la bouche ouverte lol

    bisous isa

  3. @ Isa : Alors en fait j’ai posé la question parce que j’étais « obligé » pour l’interview qui paraitrait non pas sur ce blog, mais dans le canard où je bosse. Ensuite, j’ai lu ce livre et si Nicola l’avait lu il aurait été intéressant de débattre dessus avec lui, car justement ce livre est une grosse merde (en toute objectivité), et quand bien même, je lui aurais demandé (en tant que journaliste) car je trouve cela intéressant. Évidemment ses affaires de famille ne nous regardent pas, mais si l’un a le droit de s’exprimer dessus, j’estime que l’autre aussi, si cela est son souhait of course. Pour terminer si mon frère écrit un livre sur moi (youhou ^^) et qu’on me pose la question et bien moi j’accepte qu’on me demande… Et après je me juge le droit de répondre, d’envoyer chier la personne, de ne pas m’exprimer dessus, etc… Enfin tout ça pour dire que voilà, c’est ton avis ok, mais que moi, en tant que journaliste, je ne pouvais pas ne pas poser la question. Mais en tant que fan je ne l’aurais sans doute pas fait ;-)

    Merci de ta visite et bises à Marco :)

  4. Merci Tom tout d’abord d’avoir mis cette interview en exclu sur ton site. Sincèrement, elle est juste énorme! J’adore tes questions et c’est vrai contrairement à dautres interviews, genre deux que j’ai lu aujourd’hui, hé bien nous avons là de l’originalité ! Bravo à toi ! En plus des questions m’ont fait sourire, ça fait plaisir de lire les réponses de Nico et Boris !
    Et il était bon le bonbon de Nico au fait? lol

    Merci encore! Bisouxx! A très vite!

  5. tu as raison, je sais qu’il ne veut plus en entendre parler, j’ai l’impression que les medias commencent à l’espionner, en lui posant ces genres de questions mais je ne parle pas de toi, même marie drucker lui a posé cette question à sa façon, et il a repondu à sa façon, mais bon il a raison; je sais pas si tu as vu son grand frere à la télé pas longtemps, dans son visage je lisais de la jalousie et de la mechanceté envers nicola……… c’est un salaud quand même, si j’étais devant christophe je lui cracherais tout que j’ai sur le coeur

    allez bisous je te souhaite bonne chance pour ton metier journaliste, ça ne doit pas être facile :) bisous isabelle

  6. Oh whaouw, la chance! Ce doit être géant de pouvoir discuter avec Nicola et Boris ^.^ D’ailleurs, Elise et moi on se demandait si Nicola était du genre « serrer la main » ou « faire la bise » ?!?!?! Seul toi, détiens (je pense) la réponse à cette grande question existentielle…

  7. Il sert la main ;)

    (Mais j’étais pas contre la bise lol, d’ailleurs si je lui avais tendu la joue, je suis sûr qu’il l’aurait fait !)

    Ce qui est chou c’est quand il te sert la main, il dit : Bonjour, Nicola, chanteur d’Indochine.

    Ah boonnnn ? xD

  8. Sacré Nicola XD

    D’ailleurs, en regardant ses chaussures sur les photos de l’article, je viens de me rendre compte que j’avais exactement les mêmes chaussures!! Mes magnifiques Creepers ^.^ Whaouw, c’est trop la classe d’avoir les mêmes pompes que lui… loooooool

  9. Bjr
    je viens de finir de lire ton entretien avec Nicola et Boris, tout ce qui touche à Nicola, Indochine me mène dans un monde irréèl et idyllique… mais dès que je termine cela me met dans une profonde tristesse : celle de ne JAMAIS rencontrer Nicola , lui exprimer tout l’Amour que j’ai pour lui et ses oeuvres… TOUT ce qu’il a apporté dans ma vie
    je sais que l’envie est moche mais … j’envie les personnes qui ont le privilège de le cotoyer, comme ce doit être enrichissant et PLANANT
    là j’arrête sinon nous serons le 29 novembre 2009 et je serais en retard pour partir à Dijon voir INDOCHINE
    BiSouS

  10. Merci :)

    Mais attention, je ne « côtoie » pas Nicola Sirkis. Je l’ai rencontré deux fois en « privé » pour des interviews, donc dans un but professionnel, je ne lui dit pas que je l’aime, que j’adore ses chansons, etc…

    « Le fan doit s’abstenir pendant ces moments pour laisser place au « journaliste », même si ça me fait toujours un peu chier » (enfin il n’est pas dupe non plus ^^)

  11. Bonjour,

    Bravo pour cette interview, qui change de l’ordinaire mais qui n’en est pas moins interessante !

    Bonne continuation, et VIVEMENT LE STADE DE FRANCE ;)

  12. Salut,
    Enfin un blog où on bêtifie pas en parlant d’Indochine!(genre ado hystérique) Et où ce n’est pas truffé de fautes d’orthographe!!! Bon bref, Comment as tu fait pour les rencontrer? est-ce seulement par le biais de ton travail? Si non, serait-il possible de leur faire parvenir des opinions voire certains travaux en direct. Merci par avance.

  13. Bonjour, merci pour ton commentaire =)

    Oui je les ai rencontré par le biais de mon travail.

    Pour leur donner votre opinion je vous invite à passer par la rubrique « contact » de leur site officiel, c’est la seule solution « possible » je pense…

    Bon courage !

  14. Bon, je lis l’article un peu en retard ! Mais en tout cas, merci pour l’interview, qui est très bien ! =)
    Et j’imagine la joie que tu as du avoir ce jour là !! =)

    Bonne continuation !
    Indokiss !

  15. Bonsoir . Oui je sais cela fait un baille que l’interview est écrite mais je ‘ai pas eu l’honneur de la lire avant . Je la trouve très passionnante et constructive . Bonne chance pour le journalisme :)

    Et malgré ton fanatisme mis de coté tu as quand eu le droit d’avoir des photos souvenirs et de les rencontrer . Moi je n’ai pas eu cette chance . Je ne les ai jamais vu meme pas en concert mais bon … Peut etre pour une prochaine fois . Qui sait ?

    Indokiss . Bonne continuation .

  16. bonjour,chanson pour le groupe indochine que j’ai écrite, quand pense tu? merci et bonne journée

    ADO CHINE !!!

    VETUE DE BLANC
    SEULE EN REVANT
    J AVAIS L’AIR FIERE
    MAIS J AVAIS PEUR
    MON COEUR BATTAIT EN Y PENSANT
    MES MAINS TREMBLAIENT POUR UN INSTANT

    MES YEUX OUVERT DE MILLE FEUX
    DANS L INCONSCIENCE
    DANS LA PUISSANCE

    JE ME FESAIS PLAISIR
    MES DOIGTS BOUGEAIS
    JE ME SENTAIS TOUT T EST PERMI
    JE N AI QU UN SENS (INTERDIT)

    MES YEUX BRILLAIENT DE MILLE FEUX
    DANS L INSOUCIANCE
    DANS LA SOUFFRANCE

    MAINTENANT JE SAIS REBONDIR
    MAINTENANT JE SAIS M ENDORMIR
    MON CORPS EST A MOI
    FRUSTRATION VERTICALE
    D UN DESIR HORIZONTAL

    MES YEUX PLEURAIENT DE MILLE FEUX
    DANS L INTOLERANCE
    DANS LA JOUISSANCE

    C EST MA PREMIERE RENAISSANCE
    JE M ENVOLLE
    JE ME SURVOLE

  17. Bonjour!

    Je tenais à dire que cette interview est, d’une part très intéréssante et d’autre part m’a beaucoup aidé pour un dossier que je dois préparer pour mon examen de fin d’année sur La Lettre de métal (rapport à la guerre, tout ça…)

    Je suis aussi une amateure d’Indochine, et j’ai une amie avec qui je fais le dossier qui en est une fan inconditionnelle, je lui parlerai de votre site.

    Merci et bonne continuation :)

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