Il y a un peu moins de deux semaines je suis allé dans le sud-ouest en reportage en plein milieu des intempéries. C’était épuisant, physiquement et psychologiquement, mais extrêmement formateur ! Parti le dimanche soir, TGV arrêté à Bordeaux à 3 heures du matin, un bus 4 heures plus tard pour aller à Dax, chambre d’hôtel pas encore dispo, taxi… l’aventure quoi ! Et 36 heures sans dormir.
Bref, des milliers de clichés de paysages de désolation, une tristesse énorme. Nature déchaînée, urbanisme détruit, parcs inondés, habitants déprimés : un constat lourd qui prend plus d’ampleur lorsqu’on l’affronte réellement sur place qu’à travers des photos et vidéos relayées par divers médias. L’impact de Klaus est douloureux.
Le premier jour (lundi dernier), je suis allé chez des enfants qui n’avaient pas d’électricité, pour voir comment ils s’organisaient et s’occupaient. J’ai aussi interviewé la maire de leur village qui expliquait les mesures prises pour aider les habitants. Le lendemain, j’ai suivi une équipe spéciale d’EDF qui réparait les poteaux électriques dans le sud-ouest.
Voici quelques articles que j’ai écris suite à ce reportage (très productif en matière de sujet), toujours pour l’actu, Mon Quotidien et -pour la première fois- pour Le Petit Quotidien (PlayBac Presse). Je publie juste les petites captures d’écran, pour les lire, fallait être abonné, et oh !